A quelle phase de la mitose se localisent les paires de chromosomes au niveau de la plaque équatoriale ? :
- Anaphase
- Interphase
- Télophase
- Métaphase
Si un zygote a quatre chromosomes, combien les cellules somatiques qui en résultent auront-elles de chromosomes ?: (choisir une seule réponse)
- 1 chromosomes
- 2 chromosomes
- 4 chromosomes
- 8 chromosome
Dans les résultats d’un test-cross avec intervention de deux gènes, nous avons 86% de phénotypes parentaux et 16% de phénotypes recombinés
- les gènes sont liés et portés par la même paire de chromosomes
- les gènes sont liés et portés par deux paires de chromosomes
- les gènes sont indépendants et portés par une paire de chromosomes
- les gènes sont indépendants et portés par une paire de chromosomes
Après un croisement test on obtient 4 phénotypes équiprobables, on peut en déduire que :
- les gènes étudiés sont situés sur la même paire de chromosome
- les gènes étudiés sont situés sur des paires de chromosomes différents
- ces résultats sont dus à un brassage intrachromosomique
- les parents sont tout les deux homozygotes
Lors d’une méiose, se déroulant sans anomalie, il peut s’effectuer :
- Un brassage intrachromosomique puis un brassage interchromosomique
- Un brassage intrachromosomique entre chromosomes non homologues
- Un brassage interchromosomique entre chromosomes homologues
- Un brassage interchromosomique puis un brassage intrachromosomique
Quand on dit qu'un organisme est à 2n = 6, cela signifie :
- qu'il possède 6 paires de chromosomes.
- qu'il présente 3 chromosomes à deux chromatides dans chaque cellule.
- qu'il possède 3 paires de chromosomes
- qu'il a 6 chromosomes dans les cellules germinales uniquement.
La méiose produit :
- 4 cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde.
- 2 cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde.
- 4 cellules diploïdes à partir d’une cellule diploïde.
- 2 cellules diploïdes à partir d’une cellule diploïde.
Le brassage génétique au cours de la méiose :
- est sans effet pour un individu homozygote pour l’ensemble de ses gènes
- est uniquement du à la migration aléatoire des chromosomes homologues
- se produit au cours de la deuxième division de méiose
- permet l’obtention de gamètes identiques à l’un des deux parents
Le caryotype d'un individu atteint de syndrome de Down peut avoir pour origine :
- Une non-disjonction de la paire chromosomique n° 21 lors de la division II de la méiose
- Une non-disjonction de la paire chromosomique n°21 lors de la division I de la méiose
- Un accident génétique uniquement lors de la formation des gamètes femelles
- Une duplication du chromosome 21 lors de la méiose
La méiose :
- intervient toujours juste après la fécondation.
- sépare les chromosomes homologues dans des cellules-filles distinctes
- rétablit la diploïdie
- est constituée d’une seule division cellulaire
Au cours de la méiose, le brassage interchromosomique :
- n’a lieu qu’au cours de la deuxième division de la méiose
- induit une diversité génétique des gamètes produits
- affecte des gènes situés sur la même paire de chromosomes
- résulte d’un échange de fragments de chromatides entre chromosomes homologues
La réplication de l’ADN a lieu :
- uniquement avant une mitose.
- uniquement avant une méiose.
- entre les deux divisions de la méiose.
- avant la première division de la méiose
Le caryotype normal de l'espèce humaine présente
- 22 paires d'autosomes et une paire de chromosomes sexuels.
- 46 chromosomes identiques 2 par 2 chez l’homme.
- 22 paires d'autosomes et un chromosome sexuel X chez la femme.
- 46 chromosomes et une paire de chromosomes sexuels.
Chez une espèce diploïde, le nombre potentiel de combinaisons alléliques distinctes, lors de la production de spermatozoïdes :
- provient exclusivement de remaniements intrachromosomiques
- dépend de la proportion de gènes qui présentent plusieurs allèles
- ne dépend pas du nombre de paires de chromosomes caractéristique de l’espèce
- est le résultat d’un mécanisme cellulaire particulier : la mitose
La fécondation :
- permet l’apparition d’allèles nouveaux
- aboutit à un zygote, c’est-à-dire à une cellule haploïde
- permet l’apparition de phénotypes nouveaux
- correspond à l’union de deux cellules diploïdes