la génétique

QCM

Dans une molécule d'ADN, il y a :
1. autant de nucléotides C que de A et de nucléotides G que de T,
2. autant de nucléotides A que de T et de nucléotides G que de C,
3. deux chaînes constituées chacune d'une série de nucléotides,
4. deux chaînes constituées chacune d'une série de glucides.
L'ADN:
1. est une hélice simple,
2. a une structure en double hélice,
3. contient du ribose,
4. est une molécule universelle dans le monde vivant.
La ou les bonnes réponses:
1. Les liaisons entre les différentes bases azotées sont des liasions hydrogènes
2. les brins d’une molécule d’ADN ne sont pas complémentaires,
3. la molécule d’ADN comporte toujours des nucléotides,
4. tous les êtres vivants possèdent les mêmes gènes.
Les cellules nucléées non reproductrices d’un être humain possèdent toutes :
1. une seule molécule d’ADN,
2. 23 molécules d’ADN,
3. 46 molécules d’ADN,
4. plusieurs milliers de molécules d’ADN.
Si on dénombrait chaque type de base dans une molécule d’ADN, on trouverait :
1. nombre de bases A = 2 fois le nombre de bases T,
2. nombre de bases A = nombre de bases G,
3. nombre de bases A + nombre de bases G = nombre de bases T+ nombre de bases C,
4. nombre de bases A / nombre de bases T = nombre de bases C / nombre de bases G.
Les nucléotides :
1. sont constitués d’un sucre, d’une base azotée et d’un groupement phosphate,
2. sont constitués de trois atomes différents,
3. sont complémentaires deux à deux,
4. sont associés par leurs sucres dans la chaîne d’ADN.
La base azotée complémentaire de l’adénine est :
1. l’adénine,
2. la guanine,
3. la cytosine,
4. la thymine.
Indiquez les molécules qui entrent dans la constitution d’un nucléotide :
1. un lipide,
2. un désoxyribose
3. un groupement phosphate
4. un acide aminé.
La molécule d’ADN (acide désoxyribonucléique) est constituée de :
1. deux chaînes nucléotidiques identiques,
2. deux chaînes nucléotidiques complémentaires,
3. deux chaînes nucléotidiques non identiques et non complémentaires
4. deux chaînes nucléotidiques identiques et complémentaires
La chaîne complémentaire de la séquence d’ADN ci-dessous est :
CATCGCCTTAGCGGCTACCACAT
1. GTAGCCGAATCGCCGATGGTGTA,
2. GATGCGGTTAGCGGCTAGGAGAT,
3. GTAGCGGAATCGCCGATGGTGTA,
4. CTACGCCAATGCGGCATCCTCTA.
La réplication de l'ADN:
1. nécessite de l'énergie
2. nécessite l'intervention des enzymes comme l'ARN polymérase
3. se réalise grâce à la complémentarité des bases azotées
4. se déroule dans le cytoplasme après la rupture de l'enveloppe nucléaire
La transcription de l'ADN:
1. se fait à partir des deux chaînes de nucléotides
2. nécessite la présence de ribosomes
3. permet la synthèse d'ARN messager après épissage
4. permet la synthèse d'ARN prémessager après épissage
La réplication de l’ADN est un processus :
1. au cours duquel la double hélice parentale reste intacte et une deuxième copie entièrement nouvelle est crée
2. au cours duquel chaque brin des deux nouvelles molécules d’ADN contient un mélange d’anciennes parties et de parties nouvellement synthétisées
3. au cours duquel les deux brins de la double hélice parentale se séparent et chacun d’eux sert de modèle pour la synthèse d’un nouveau brin complémentaire
4. qui se déroule pendant la mitose
En 1944, Avery, Mc Leod et Mc Carthy réalisent les expériences ci-dessous :
1. Un mélange de bactéries S (pathogènes, responsables de la pneumonie) préalablement broyées et de bactéries R (non pathogènes) est injecté à des souris. Ces souris meurent et les pneumocoques se retrouvent dans leur sang.
2. Ils broient les bactéries S et traitent le broyat pour obtenir l’ADN de ces cellules. Cet ADN est mélangé à des bactéries R, le tout injecté à des souris. Toutes les souris meurent de pneumonie et des bactéries S sont présentes dans le sang.

On peut déduire de ces résultats que :
1. l’ADN est le support de l’information génétique,
2. les bactéries S deviennent des bactéries R dans la deuxième expérience,
3. l’ADN des bactéries S tuées s’insère dans les bactéries R,
4. les bactéries R étaient pathogènes au départ.
Une mutation est une modification :
1. de la séquence glucidique d’un gène,
2. de la séquence protidique d’un gène,
3. de la séquence nucléotidique d’un gène,
4. de la séquence en acides aminés d’un gène.
Les mutations :
1. sont des modifications des protéines.
2. engendrent toujours des maladies,
3. sont indépendantes des facteurs de l’environnement,
4. sont à l'origine de la formation de nouveaux allèles
Une mutation:
1. peut créer une nouvelle version d'un gène
2. est toujours néfaste pour la cellule
3. peut conduire à une modification du phénotype
4. est systématiquement transmise à la descendance
Les agents mutagènes:
1. peuvent provoquer des modifications de la séquence nucléotidique de l'ADN
2. sont sans effet sur les cellules somatiques
3. augmentent la fréquence des mutations
4. peuvent être d'origine naturelle
En 1949, Erwin Chargaff mesure les proportions des différents nucléotides sur des extraits d'ADN prélevés chez différentes espèces. Le tableau ci-dessous résume les résultats obtenus, exprimés en %.

En prenant en compte toutes les espèces citées, nous pouvons:
1. observer que la somme des proportions de A et T est quasiment égale à la somme des proportions de C et de G,
2. observer que la proportion de A est quasiment égale à celle de T,
3. interpréter les données par la complémentarité des nucléotides A et T, ainsi que la complémentarité des nucléotides C et G,
4. observer que la somme des proportions de A et C est quasiment égale à la somme des proportions de T et de G.
L'ADN est formé par l'enchainement de :
1. Ribonucléotides
2. Désoxyribonucléosides
3. Désoxyribonucléotides
4. Ribonucléosides